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admd - Page 71

  • Rencontre avec Christophe Girard sur la fin de vie

    Ce mercredi, je rencontrerai le maire du 4ème arrondissement de Paris, Christophe Girard, pour évoquer la question de la fin de vie et les revendications de l’ADMD à quatre jours de notre grand meeting à Paris.

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  • Une semaine de mobilisation pour la fin de vie !

    Cette semaine comprendra plusieurs temps forts sur le débat de la fin de vie.
    La semaine dernière, on a assisté à un débat sans vote à l’Assemblée nationale qui a, une fois de plus, montré les atermoiements du gouvernement sur la question du droit de mourir dans la dignité.
    En attendant la discussion du texte de M. Leonetti en mars prochain, deux temps forts auront lieu cette semaine autour de cette question.
    D’abord, la discussion de la proposition de loi du groupe Europe-Ecologie/Les-Verts jeudi prochain.
    Ensuite, les journées des délégués de l’ADMD du 30 au 31 janvier 2015 avec une manifestation le 31 janvier à 13h30 Porte de Charenton suivi d’un grand meeting à 14h00 à l’Espace Charenton à Paris.
    Je reviendrai ces jours-ci sur ces temps forts mais je compte sur vous pour notre mobilisation du 31 janvier. Nous devons être nombreux à réclamer notre Ultime Liberté ! 

     

  • La réunion de Beziers avec J.C. Gayssot dans Midi Libre

    Midi Libre euthanasie vendredi 16 janvier 2015.jpg

  • Nous réclamons une loi de liberté, maintenant ! (Tribune pour LeFigaro.fr)

    Alors que le dossier de Vincent Lambert montre une nouvelle fois que la loi actuelle n’est pas adaptée aux situations des personnes dont les organes vitaux ont été épargnés par un accident ou une maladie et qui demandent à mourir pour ne plus connaître un destin de grabataire, alors que le dossier de Jean Mercier montre une nouvelle fois que des personnes en fin de vie et très âgées ne savent pas comment, dignement et sans brutalité, tirer leur révérence et quitter cette vie qui n’en est plus une, alors que le dossier de Nicolas Bonnemaison montre une nouvelle fois que les médecins sont désarmés devant des cas de fin de vie difficiles et ne disposent pas de moyens légaux et humains pour abréger dignement les souffrances, un nouveau débat, sans suites législatives, va s’ouvrir à l’Assemblée nationale ce mercredi 21 janvier 2015.
    Et c’est ainsi que de rapports en missions, de Jurys citoyens en avis d’experts, les pouvoirs publics jouent la montre pour ne pas prendre la seule décision qui vaille : autoriser chaque citoyen majeur et responsable, dans notre pays, à bénéficier de son ultime liberté lorsque la vie n’est plus que de la survie ; son droit d’éteindre lui-même sa propre lumière, le droit de bénéficier d’une aide active à mourir, suicide assisté ou euthanasie active. Ce droit dont nos amis néerlandais, belges, luxembourgeois disposent depuis de nombreuses années. Cette faculté accordée aux citoyens suisses. Cette loi qui existe dans plusieurs états des Etats-Unis d’Amérique.
    Cette situation serait risible, tant l’acharnement déraisonnable des gouvernements à ne rien faire est évident et signe d’une forme de lâcheté ; ce serait risible si ce n’était les gens que nous aimons et qui, durant ce temps, infiniment trop long, pâtissent de cette mauvaise mort que tout le monde reconnaît caractériser notre système mais que personne n’a l’humanité de changer.
    Ainsi donc, ce mercredi 21 janvier 2015, nos députés vont évoquer à l’Assemblée nationale la question de la fin de vie, en s’appuyant sur le rapport de MM. Claeys et Leonetti, spécialistes autoproclamés du sujet. Un débat sans vote, a-t-on annoncé… A quoi cela va-t-il servir ? Réaffirmer des principes, voire des convictions dont certaines n’ont rien à voir dans le cadre de notre République laïque ? Inutile… Le législateur n’est pas mandaté pour philosopher. Il est là pour agir et pour prendre des décisions. Il est là pour améliorer nos vies.
    Le dimanche 11 janvier dernier, les Français ont manifesté en très grand nombre pour dire « oui » à la liberté, « non » à l’immiscion de la religion dans la gouvernance de notre République et rappeler leur attachement à la laïcité.
    La loi que l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité réclame depuis 35 ans, que plébiscitent 96% des Français selon un dernier sondage, n’est pas une loi qui oblige, qui force. A l’image de la loi sur l’avortement, c’est une loi qui, suivant la seule volonté de la personne en fin de vie, permet de choisir les conditions de sa propre fin de vie. Non pas parce que nous n’aimons pas la vie et sommes des adorateurs de la mort. Non ! Simplement parce que nous aimons tellement la vie que nous ne voulons pas, lorsque celle-ci n’est plus qu’une survie rendue possible par des machines, être maintenus dans un état qui ne correspond plus à notre propre conception de notre dignité.
    Je me rappelle, en écrivant ce texte, les mots de l’actrice Maïa Simon, décédée en septembre 2007 d’un suicide assisté en Suisse, grâce à l’association Dignitas : « Moi j’ai toujours été une nomade, toujours entre deux voyages. L’extérieur, c’est le champ de découvertes, de rencontres. A partir du moment où je n’ai plus la liberté d’aller caracoler à l’extérieur, de prendre le train, de prendre l’avion, de partir, je m’étiole comme un oiseau qu’on maintient dans une cage. Même s’il siffle, il n’est pas heureux… » Frappée d’un mal incurable, Maïa Simon a préféré l’exil suisse au spectacle de sa propre déchéance.
    Mais l’exil en Suisse, payant et possible aux seules personnes encore capables de se déplacer, n’est pas la solution pour tous nos concitoyens.
    Il faut donc qu’enfin une loi républicaine accorde à chacun le droit de choisir. Une loi de liberté, une loi d’égalité et une loi de fraternité.
    Nul ne doit avoir le droit de choisir pour moi-même comment je devrai mourir. Fut-il médecin. Et je n’ai nullement le droit d’imposer à quiconque ma conception de sa propre mort. Liberté…
    Nul ne peut disposer de moyens, confidentiels et clandestins, dont d’autres, la grande majorité, seraient privés, faute de savoir ou de relations. Egalité…
    Nul, enfin, ne doit se résigner à laisser mourir un être humain, dans la souffrance et les supplications, parce que sa conviction personnelle est autrement ou que des principes obsolètes, hérités d’un autre temps, sont mal interprétés. Fraternité…
    Et à ceux qui pensent que le sujet est si compliqué qu’il faut le confier à des experts, je dis que les citoyens sont les seuls experts de leur propre vie, les meilleurs connaisseurs de leurs propres limites et de leur acceptation de la souffrance. Je leur dit que ce sujet ne souffre pas de grands principes et que chacun d’entre nous, fort de son expérience, de ce qu’il a vécu auprès de proches arrivés en fin de vie, doit savoir ce qu’il désirerait vivre lorsque ce moment inexorable de la mort sera arrivé.
    La mort est la seule certitude de notre vie. Personne ne doit plus avoir le droit de nous confisquer ce moment.
    Nous réclamons une loi d’ultime liberté, maintenant !
    Jean-Luc Romero, président de l’ADMD
    Lire sur le site du Figaro (ici).

  • Réunion Publique de l'ADMD à la mairie du 10ème arrondissement

    Ce mercredi, à 18h30, je participerai à la réunion publique de l'ADMD, organisée par son nouveau délégué Rémi Chauvet.
    Cette réunion se déroulera en présence du maire du 10ème arrondissement de Paris, Rémi Féraud et de l'adjointe à la maire de Paris, Alexandra Cordebard.

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  • Invité de France Bleu Nord à 7h10

    A l’occasion du débat sans vote sur la fin de vie qui se déroule ce mercredi à l’Assemblée nationale, je serai l’invité de France Bleu Nord à 7h10.

  • 2ème Petit-déjeuner parlementaire sur la fin de vie

    Ce matin, comme jeudi dernier, j’ai invité des députés, qui s’étaient engagés en faveur de la légalisation de l’euthanasie, à discuter des futures échéances sur la fin de vie, notamment le débat sans vote du 21 janvier et la proposition des Verts discutée en fin de mois.
    Il est important de rappeler aux députés les engagements qu’ils ont pris devant les électeurs et leur demander d’amender les textes qui seront proposés par le gouvernement.

     

  • Meeting de l’ADMD à Montpellier à 14h00

    J’animerai une réunion publique de l’ADMD, ce samedi 17 janvier, à 14h, à l’hôtel Pullman de Montpellier Centre.
    Il s’agira de mobiliser dans le cadre du débat actuel sur la fin de vie car nous ne pouvons accepter qu’une loi Leonetti de gauche soit votée.

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  • Réunion des délégués ADMD du Languedoc-Roussillon

    Ce matin, j’animerai la réunion des délégués ADMD du Languedoc-Roussillon pour faire le point dans le cadre de notre mobilisation pour avoir enfin une loi d’Ultime Liberté. Cette réunion sera suivie d’un déjeuner.

  • Débat sur la fin de vie à Béziers à 18h30

    A l’invitation de l’ancien ministre Jean-Claude Gayssot, j’évoquerai la question de la fin de vie et mes positions sur le débat actuel au Centre universitaire Duguesclin ce vendredi 16 janvier à Béziers à 18h30.
    Ce débat est ouvert au public.

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  • Petit-déjeuner parlementaire sur la fin de vie

    Ce matin, j’ai invité des députés, qui s’étaient engagés en faveur de la légalisation de l’euthanasie, à discuter des futures échéances sur la fin de vie, notamment le débat sans vote du 21 janvier et la proposition des Verts discutée en fin de mois.
    Il est important de rappeler aux députés les engagements qu’ils ont pris devant les électeurs et leur demander d’amender les textes qui seront proposés par le gouvernement.

     

  • Rassemblement de soutien à Jean Mercier à Saint-Etienne

    Alors que le procès de Jean Mercier reprend aujourd’hui, je rejoindrai les adhérents de l’ADMD qui se rassembleront sur les marches du palais de justice de Saint-Etienne ce mardi à 13h30.
    Il s’agit de dire notre amitié et notre soutien à Jean Mercier qui n’a fait que soutenir son épouse en fin de vie et respecter ses dernières volontés. Sa comparution devant un tribunal est injuste et inhumaine.

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  • Débat autour du film « Le moment et la manière » à Bordeaux à 20h30

    Une nouvelle fois, j’assisterai à la projection du beau film d’Anne Kunvari « Le moment et la manière » organisé avec la délégation ADMD de Bordeaux animée par Claudine Crang.
    La séance aura lieu au Cinéma Utopia à Bordeaux et sera donc suivie d’un débat sur la fin de vie.

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  • Invité de TV7 Bordeaux à 18h30

    La vie militante doit reprendre. Ce serait faire un trop beau cadeau à ces lâches terroristes que de ne plus défendre les causes auxquelles nous croyons.
    Ce soir, je reprends donc mon tour de France pour l’ADMD et avant le débat de ce soir à Bordeaux, je serai l’invité du journal de TV7 Bordeaux à 18h30.

     

  • Mon 1er vœu politique pour 2015 : une loi légalisant l’euthanasie !

    L’agenda politique fait que la question du droit de mourir dans la dignité sera au cœur de la rentrée politique de janvier avec le débat sans vote qui se déroulera à l’Assemblée nationale sur la fin de vie et aussi avec la proposition de loi de Véronique Massonneau qui sera discutée fin janvier.
    L’ADMD, que je préside, sera très mobilisée en janvier et nous organiserons un grand meeting à Paris le 31 janvier pour rappeler à François Hollande son engagement 21, qu’il semble avoir oublié en nommant Jean Leonetti pour travailler sur une proposition de loi sur la fin de vie.
    En janvier nous dirons « Non à une loi Leonetti de gauche », mais Oui à une loi qui permette enfin au mourant de décider s’il veut abréger ses souffrances.
    Mon vœu est donc que les parlementaires, notamment de gauche, tiennent leur engagement et votent enfin une loi comme l’ont déjà nos amis belges, hollandais et luxembourgeois !

  • Invité de "Un an après" sur Europe 1 dans les JT de 18h00

    Je suis l'invité de Bruno Donnet pour sa rubrique "Un an après" sur Europe 1. Cette interview passera dans la séquence des journaux de ce soir après 18h00.
    Ce sera l'occasion de revenir sur l'évolution du dossier sur la fin de vie depuis un an.

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  • Mon Edito dans le numéro 131 du Journal de l'ADMD

    A l’heure où nous bouclons ce numéro 131 de notre Journal, il est trop tôt pour connaître les conclusions de la mission que le premier ministre a confiée à Jean Leonetti. Ce que nous pouvons dire tient en trois points: 
    - Quelle idée, de la part de Manuel Valls, pourtant partisan d’une légalisation de l’euthanasie, de confier une mission sur la fin de vie à Jean Leonetti dont on connaît les positions bien peu progressistes en la matière, son souhait de conserver – péché d’orgueil – sa loi en état et ses liens avec les milieux conservateurs. 
    - Nous avons déjà une idée de l’arrière pensée de monsieur Leonetti : proposer une nouvelle fois ce que l’Assemblée nationale a déjà rejeté en avril 2013 (sa proposition de loi visant à renforcer les droits des patients en fin de vie, n° 754) : formaliser la sédation terminale ou irréversible (le sinistre « laisser mourir » par déshydratation et dénutrition), rendre opposables des directives anticipées qui auraient été préalablement validées ou censurées par le médecin (ce qui signifierait toujours l’absence de libre choix). Bref, refuser toujours au citoyen en fin de vie de disposer de sa propre mort, à son rythme, en conscience… 
    - Nous nous moquons de l’avis de Jean Leonetti. En France, il n’y a pas un unique spécialiste de la fin de vie qui serait le « bon » docteur Leonetti, celui qui a reconnu avoir débranché jadis des respirateurs pour libérer des lits. Il y a autant de spécialistes de la fin de vie qu’il y a de Français car chacun doit pouvoir rester maître de lui-même et responsable de son propre parcours de fin de vie. Dans notre démocratie, c’est le Parlement qui fait les lois, et la majorité des députés ont été élus ou réélus à la suite de l’élection de François Hollande qui a pris l’engagement (le 21) de légaliser l’aide active à mourir.
    Au printemps prochain, les parlementaires auront à discuter de ce sujet si grave et si essentiel de la liberté en fin de vie. Ne confions à personne les clés de notre destin et la gestion de nos souffrances. 
    Nous devrons, chacun des 58.000 adhérents de l’ADMD, agir en responsabilité, s’associer à toutes les initiatives militantes qui seront prises dans les délégations et maintenir la pression sur les législateurs pour que les anti-choix, anti-tout, anti-progrès, bien que faibles numériquement et non-représentatifs de la population française, n’aient pas le dernier mot. 
    Je compte sur vous. Après la trêve de la fin de l’année, nous devrons repartir au combat. 
    A tous, je souhaite une très bonne fin d’année, avec une pensée particulière pour ceux qui sont morts dans les agonies illégitimes et pour ceux auxquels la maladie ne laisse jamais de répit. 

    Jean-Luc Romero 
    Président de l’ADMD 
    Délégué pour le 12ème arrondissement de Paris

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  • Rencontre avec le député Alain Tourret sur la fin de vie

    En fin de journée, je retournerai à l’Assemblée nationale pour rencontrer le député PRG Alain Tourret qui est très impliqué sur la question de la fin de vie.
    Je rappellerai les demandes de l’ADMD sur ce sujet pet notre opposition au vote d’une loi Leonetti de gauche.

     

  • Audition par Véronique Massonneau sur la fin de vie

    Je serai auditionné à l’Assemblée nationale par la députée Véronique Massonneau qui rapporte sa proposition de loi sur la fin de vie.
    Je rappellerai la demande de l’ADMD de l’accès universel aux soins palliatifs et de la légalisation de l’euthanasie.