Depuis 2020, aux côtés d’@Anne_Hidalgo, nous avons mené une politique ambitieuse pour faire de Paris une ville où chacune et chacun peut trouver sa place, quel que soit son parcours migratoire ou son statut administratif.

Un soutien fort et constant aux acteurs de l’intégration :

L’accès aux droits, étape clé du parcours d’intégration, avec 1 258 000 € alloués à 185 projets associatifs sur tout le territoire parisien.

L’apprentissage du français, condition indispensable pour participer pleinement à la vie citoyenne, avec 3 503 079 € investis, et des projets phares comme le programme EIFFEL ou l’appel à projets REFUG.

 

Un accompagnement pour favoriser l’autonomie et l’insertion professionnelle :

Des actions concrètes pour permettre à toutes et tous de contribuer pleinement à la société française et à la vie de notre ville.

 

Des moments pour célébrer la diversité et l’histoire des migrations :

L’accueil d’événements comme les cérémonies de parrainages républicains ou la cérémonie des nouveaux naturalisés.

La mise en lumière des mémoires et parcours migratoires à travers des expositions telles que « Parisien·nes d’ici et d’ailleurs », « Portraits d’apprenant·es », « Venus d’ailleurs, ils ont fait la France » ou encore « Sports et Diversité, de 1896 à 2024 ».

 

Un engagement particulier pour les publics les plus vulnérables :

Des initiatives fortes pour accompagner les migrants âgés, comme les Cafés Sociaux portés par l’association Ayyem Zamen.

Un suivi spécifique de la vie démocratique dans les Foyers de travailleurs migrants.

 

Ces 5 années d’actions confirment notre volonté de faire de Paris une capitale solidaire, interculturelle et inclusive, où tous les parcours sont valorisés.

 

Au Conseil de Paris, nous avons réaffirmé notre engagement en faveur de l’intégration en soutenant 17 associations dans le cadre de l’appel à projets REFUG.

Ce dispositif, qui soutient les associations œuvrant pour l’apprentissage du français, l’accès aux droits, à la citoyenneté et à l’autonomie, est essentiel pour offrir un accueil digne aux personnes qui ont dû quitter leur pays.

Il est aujourd’hui plus que jamais indispensable quand on sait que la loi immigration impose désormais des exigences linguistiques nettement plus strictes, plongeant des centaines de milliers de personnes dans une insécurité juridique, malgré leurs efforts d’intégration.

Si l’État se désengage de sa responsabilité d’intégrer dignement ces personnes, la Ville de Paris poursuivra son engagement aux côtés des associations que je tiens à remercier pour leur travail.

A l'hôtel de ville de Paris s’est tenu le comité de pilotage du programme Eif-fel. Initié en 2016, ce dispositif est désormais présent dans neuf arrondissements parisiens. Il vise à structurer et à renforcer le réseau des acteur·rice·s mobilisé·e·s pour l’apprentissage du français à Paris.

Dans le contexte actuel et à l’approche du décret d’application de la loi immigration, qui exigera un niveau de langue plus élevé pour obtenir un titre de séjour ou accéder à la naturalisation, ce programme est plus que jamais indispensable.

Ville refuge, Paris doit faire face à ces enjeux et résister au mieux au désengagement de l’État, en répondant aux besoins des publics concerné·e·s.

Je tiens à remercier chaleureusement l’ensemble des acteur·rice·s engagé·e·s au quotidien pour faire vivre ce projet ambitieux, et en particulier les trois associations partenaires : CEFIL, Paroles Voyageuses et UNIR.

Honoré d’avoir présenté au Conseil de Paris des subventions à hauteur de 166 500 € en soutien à 32 associations engagées dans la lutte contre les discriminations, et d’avoir soutenu un vœu contre toutes les formes de racisme et d’antisémitisme.

Alors que l’intolérance progresse dans de nombreuses régions du monde, Paris doit plus que jamais affirmer son rôle de rempart face à la haine et à l’exclusion.

Soutenir ces projets, c’est défendre l’accès aux droits fondamentaux pour toutes et tous, accompagner les personnes en situation de vulnérabilité, et interroger collectivement nos pratiques pour construire une société plus juste et inclusive.

La semaine dernière au Conseil de Paris, j’ai proposé l’attribution de 170 000 euros à 20 associations œuvrant pour l’accès aux droits.

Dans une ville où une personne sur cinq a connu un parcours migratoire, #Paris, ville refuge, doit réaffirmer son engagement historique en faveur de l’inclusion, à une époque où la solidarité est plus que jamais mise à l’épreuve.

Soutenir ces associations, c’est garantir un meilleur accès à la santé, au logement, à la citoyenneté, et renforcer l’inclusion sociale pour toutes et tous.

Présenté hier au Conseil de Paris : une délibération accordant 127 000€ à 6 associations au titre de l’apprentissage du français et de l’accès aux droits.

Dans un monde où les exigences administratives et professionnelles ne cessent de croître, la maîtrise de la langue française est essentielle pour une intégration réussie des personnes migrantes et étrangères. Favoriser l’apprentissage du français, c’est ouvrir l’accès aux droits, à l’emploi, ainsi qu’aux ressources éducatives et culturelles.

Parce que la maîtrise du français et l’accès aux droits sont des clés fondamentales de l’intégration, #Paris réaffirme son soutien à ces associations.

Au Conseil de Paris, j’ai pu présenter une délibération accordant 245 073 € de subventions à 3 associations pour le projet EIF-FEL au titre de l’intégration.

Dans un contexte où les discours nationaux et internationaux sont de plus en plus défavorables et virulents concernant les sujets liés à l’accueil et l’intégration, il était essentiel que #Paris réaffirme sa vocation à accompagner et intégrer les publics les plus vulnérables.

Soutenir ce projet c’est renforcer l’apprentissage du français, un pilier fondateur de l’intégration sociale et professionnelle.

Je présentais hier une délibération au Conseil de Paris attribuant 39 000 € à 18 associations qui œuvrent chaque jour pour l’intégration des personnes migrantes à Paris.

Dans une ville où 15 % de la population est étrangère, soutenir ces initiatives est primordial pour garantir l’accès aux droits, à l’apprentissage du français et à une inclusion digne et humaine.

Accès aux droits, apprentissage du français, accompagnement : ces actions sont au cœur de notre engagement pour une ville inclusive et solidaire.

Avec Veronique Levieux, passage à la caserne Napoléon pour admirer la magnifique exposition "Parisiens d'ici et d'ailleurs" de l'association Ayyem Zamen.

Les portraits photos de ces femmes et de ces hommes qui nous rappellent leurs parcours de migration et subliment la ville de Paris en mettant à l'honneur des lieux qui leur sont chers. Cette exposition met en valeur à la fois leur courage et leurs identités.

C'est avec fierté que La Ville de Paris soutient depuis le commencement l'association Ayyem Zamen qui se mobilise auprès de personnes âgées en situation de précarité. Leur travail contribue à faire de notre ville une terre d’accueil et toujours plus inclusive.

Je les remercie pour leur engagement et réitère mes félicitations à Brigitte Somblé pour ces merveilleuses photographies.

Alors que le gouvernement a permis l’adoption de la loi immigration en décembre, avec son florilège de mesures répressives, Paris se bat pour que les droits des personnes étrangères et immigrées soient respectés.

Paris, capitale des droits humains, a le devoir de soutenir les associations qui les accompagnent, n’en déplaise à la droite parisienne.  

C’est pourquoi nous soutiendrons à hauteur de 245 000 euros 22 associations d’accès aux droits sur le territoire parisien.

Au moment où le repli identitaire, les fantasmes autour de l’immigration et du grand remplacement sont devenus des obsessions de certains partis politiques, la politique parisienne ne fléchit pas.

Nous sommes très fiers de la diversité de notre capitale, de toutes celles et ceux qui ont construit son histoire à travers les siècles et en ce moment-même.

C’est pourquoi nous avons proposé et voté au Conseil de Paris le soutien à 12 associations qui les accompagnent et qui valorisent leur mémoire, pour 135 000 euros.

Très belle cérémonie de parrainages républicains à la mairie de Paris 12 avec Emmanuelle Pierre-Marie, Emmanuel Grégoire et les élus de Paris 12.

Merci aux Parisiennes et aux Parisiens pour leur solidarité.

Des personnes venant d’autres pays vont pouvoir être accompagnées dans leurs démarches grâce à vous.

Comme le rappelle si souvent la maire AnneHidalgo, Paris est une ville refuge. La ville des droits humains.

#Parissolidaire

Je me réjouis que la convention pluriannuelle d’objectifs entre Paris et la FASTI ait été renouvelée jusqu’en 2026 au Conseil de Paris.

Depuis des dizaines d’années, la FASTI accompagne les immigrés et les étrangers parisiens pour faire valoir leur droits que le gouvernement a, une fois de plus, renié avec la loi immigration.

Paris, fidèle à ses valeurs historiques, ne cédera pas aux discours de repli sur soi et aux mesures entravant les droits fondamentaux de toutes et tous.

Vous êtes une association qui œuvre pour l’apprentissage du français à destination des réfugié.es et demandeur.euses d’asile à Paris ?

Vous avez jusqu’au 29 février pour candidater à la 9e édition de l’appel à projets REFUG.

Le Collectif accès au droit vient de publier son premier rapport alarmant !

Une enquête nécessaire : 448 témoignages recueillis depuis 2015 qui mettent en lumière le non respect des droits fondamentaux des personnes exilées à la rue.

Retrouvez mon interview pour la newsletter du réseau Eif-fel, un dispositif essentiel pour l’apprentissage du Français à Paris.

Depuis 2016, ce sont plus de 7600 personnes dans 8 arrondissements qui ont pu être évaluées sur leur niveau de langue et orientées.

Le forum d’insertion professionnelle des réfugiés a été une fois de plus une réussite !

Beaucoup de personnes pour cette 2e édition qui ont pu être orientées sur les formations professionnelles et linguistiques.

Le Monde de Kaleb, un film touchant, engagé et qui illustre le véritable parcours du combattant des personnes réfugiées en France. Merci à Paris et Vasken Toranian d’avoir permis la projection du film en avant-première à l’hôtel de ville.

À retrouver le 2 novembre au cinéma !

Échanges instructifs avec le FORIM, réseau des diasporas solidaires. L'occasion de célébrer les 20 ans de ce réseau pro-actif dans l'intégration des migrant.e.s, réfugié.e.s, exilé.e.s !