Café politique avec Bernard Debré ce lundi
Avec mes amis d’Aujourd’hui, Autrement, je recevrai l’ancien ministre de la coopération d’Edouard Balladur, le professeur Bernard Debré, par ailleurs député de Paris, à notre café politique mensuel qui se déroule ce lundi 13 février à 19h30 au Babu [salle du 1er étage] 18, boulevard Montmartre dans le 9ème arrondissement. (Métro grands Boulevards).
Bernard Debré répondra à la question « Comment gagner la bataille de Paris ? » et nous pourrons confronter nos propositions qui parfois s’opposent.
A l’issue de ce débat, je dédicacerai mon livre « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? » Justement, j’en profite pour vous offrir les premières lignes du portrait que je dresse de l’ancien maire d’Amboise dans ce tout nouveau livre.
« Bernard Debré, je le connais depuis vingt ans - exactement - cette année ! J’étais alors assistant parlementaire du président du Conseil général de la Charente, Pierre-Rémy Houssin et très lié à la collaboratrice de celui qui était député d’Indre-et-Loire, mon amie Lucile Astel. […]
A l’Assemblée nationale, dès sa première élection, Bernard a laissé le souvenir du « médecin de tous ». Des puissants – Mitterrand, tant de ministres et de députés ou sénateurs -, mais aussi des simples agents ou assistants du Palais Bourbon ! C’est ainsi que je ne pourrai jamais oublié qu’il a pris en charge mon beau-père, Gervais, atteint d’un cancer de la prostate.
Malgré les moyens plus que modestes de mes parents, et alors que Debré n’avait rien à attendre de nous, il a installé mon beau-père dans son service privé de Cochin sans jamais lui réclamer les honoraires adéquats. Honoraires que mon beau-père aurait été bien incapable de régler. C’est un geste qui ne s’oublie pas ! Grâce à lui, nous qui étions de modestes ouvriers du Nord, des sans-grades, nous avons eu droit aux soins du plus grand des spécialistes de la prostate ! Du médecin des présidents et des rois... »
La suite dans… mon livre !
Je vais quand même pas vous donner l'intégralité de mon livre sur ce blog sinon personne ne le lira ! Et mon éditeur m’en voudra…
Peut-être à lundi ?