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Il serait temps que le Premier ministre cesse de privilégier ses convictions religieuses et s’inspire d’un de ses modèles, VGE, qui sut légaliser l’IVG, malgré sa foi !Au moment où dans #LaTribuneDimanche les « 184 » - les membres de la conventioncitoyenne - appellent @bayrou à reprendre la discussion d’un texte complet sur la #findevie, le Premier ministre persiste dans ses errements.Après avoir propagé des fake news sur la Belgique, @bayrou réitère sa volonté de scinder la loi en « deux questions absolument distinctes et, j’allais même dire, moralement (sic) distinctes. »Opposer soins palliatifs et aide active à mourir, comme il le fait, est inacceptable !A l’entendre, seuls les soins palliatifs sont une réponse humaniste en opposition avec l’aide à mourir qui n’est qu’une « question de droit, qui peut engendrer des débats de conscience extrêmement lourds. »Je me suis toujours battu avec l’ADMD-FRANCE pour un accès universel aux soins palliatifs, mais avec ses propos, on va finir par passer de l’acharnement thérapeutique à l’acharnement palliatif, car oui monsieur #Bayrou, il y a des situations où les soins palliatifs sont impuissants et ça doit aussi rester un droit que de souhaiter en bénéficier ou non.
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Rassemblement au Panthéon en soutien aux otages en Iran.
J’étais présent hier après-midi au rassemblement au Panthéon en soutien aux otages en Iran. Déjà 1000 jours que Cécile Kholer et Jacques Paris sont détenus arbitrairement, tout comme Olivier Grondeau depuis plus d’un an.Il est important de rester mobilisés car c’est ainsi que nous pouvons obtenir leur libération. Quelle joie d’ailleurs de revoir Louis Arnaud, ex-otage en Iran, qui lui, a pu être libéré en juin dernier après plus de 2 ans de détention.#FreeCecileKholer#FreeJacquesParis#FreeOlivierGrondeau -
« Le café où vivent les souvenirs », de Toshikazu Kawaguchi, pour que le passe redevienne réel !
Au nord du Japon, un café le Dona Dona a une vue imprenable sur le port. Mais surtout, il pernet de voyager dans le passé.
Les clients, selon des conditions strictes et bien établies, peuvent, le temps d’un café, renouer avec le passé. Avec un être aimé.
Tout le monde rêverait de pouvoir discuter avec un être disparu. Dire les choses qu’on n’a pas eu le temps de s’avouer. Les mots d’amour que par pudeur, on n’a malheureusement pas osé dire. Régler des incompréhensions qui pèsent sur celle ou celui qui reste.
Comme dans « Le café du temps retrouvé » Toshikazu Kawaguchi démontre une sensibilité à fleur de peau qui nous entraine dans la bienveillance et l’empathie.
Sa lecture nous rend la vie plus acceptable…