Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Seule solution de bon sens : légaliser l’euthanasie !

Suite à la garde à vue d’un médecin, à Bayonne, soupçonné d’avoir aidé à mourir quatre personnes âgées en fin de vie, des medias évoquent une affaire d’euthanasie.
Tant que nous n’avons pas plus d’infos, il convient bien sûr de rester prudent, car la 1ère condition de l’euthanasie, c’est la volonté de la personne en fin de vie.
Mais cette affaire montre, une nouvelle fois, l’urgence d’une loi légalisant l’euthanasie. Car une telle loi est à la fois protectrice du patient qui est le seul à décider s’il veut partir, mais aussi des soignants qui soulagent un mourant à sa demande. Car aujourd’hui, même s’il y a volonté du patient, le soignant risque la Cour d’Assises, ce qui est scandaleux.
En même temps, faute de cadre juridique, des aides à mourir sont pratiquées, peut-être par compassion, mais sans la volonté du patient et cela est tout aussi inacceptable bien que le serment d’Hippocrate exige aussi du médecin de soulager les douleurs sachant que cela peut conduire à la mort… Bref, nous sommes aujourd’hui dans une impasse.
Une seule solution pour sortir de l’hypocrisie et des dérives : une loi légalisant l’euthanasie et c’est ce que j’ai essayé d’exprimer dans ma longue interview à Sud Ouest (ici), au NouvelObs.com (ici) ou encore sur RMC (ici); TF1/LCI (ici).

Commentaires

  • cette histoire montre encore que faute de loi on est toujours dans le flou !!!!
    car seule la loi est garante de la volonté de la personne
    qui doit décider si elle veut etre aidée à mourir
    elle seule doit dire sa volonté

  • "rester prudent"??? Adhérente à l'ADMD depuis 1995, je suis déçue par votre " prudence", Mr Romero. Je ne rate aucune des réunions de l'ADMD, d'abord dans la Drôme, maintenant à Paris, et je ne dis que du bien de vous , je ne vous remercierai jamais assez pour votre engagement en faveur de l'euthanasie.

    Mais là.... M----!!!! Il faut foncer !! J'ai signé la pétition de soutien au DR Bonnemaison sur www.mesopinions.com.

  • Tout à fait d´accord ave Jean- Luc....La décision de mourir appartient au patient et à lui seul. Tant qu´on n´aura pas une loi protectrice des droits du patient ainsi que de ceux des médecins qui agissent par respect de la volonté des patients, on assistera à des cas absurdes de médecins accusés d´homicide ou de patients souffrant des agonies inutiles..Il est urgent de changer la loi actuelle pour une loi de liberté.

  • Je suis entièrement d'accord avec vous, surtout que cette pratique se fait sans que personne n'en sache rien. Ce médecin, urgentiste sait de quoi il parle. je voudrais souscrire à votre pétition nationale et m'inscrire à votre association. Bien à vous michèle Van dyck-celli

  • Bravo pour tout ce que vous défendez avec force et conviction monsieur Roméro.
    J'espère que vite il sera établi que les personnes âgées avaient souhaité mourir, et ainsi l'on pourra en toute connaissance de cause mettre en route une pétition pour soutenir ce courageux médecin humaniste.
    Vivement cette loi tant attendue qui sera un ouf de soulagement pour nous tous qui sommes un jour voués à partir et que ce soit le plus dignement possible !!!
    merci encore à tous qui soutiennent la loi pour l'euthanasie.

  • Légaliser l'euthanasie risque bien d'être une entreprise de longue haleine et dont la mise en application rencontrera encore plus de difficultés que celle de l'avortement thérapeutique. Il est nécessaire de continuer ce combat avec courage et détermination.

    Mais dans un souci d'efficacité à court terme, il faut aussi dénoncer systématiquement l'acharnement thérapeutique sous toutes ses formes et elles sont nombreuses.

    Les passages répétés aux urgences pour des personnes âgées en fin de vie font partie de cet acharnement, surtout s'ils favorisent l'apparition de nouvelles escarres sans parler de l'approche de chaque nouvelle pathologie sans prendre les précédentes en compte... Ceci n'est qu'un exemple mais on peut en trouver bien d'autres tels que la distribution excessive de médicaments qui soulage la conscience du thérapeute et non le patient, l'infantilisation du malade qui n'est plus considéré comme un être responsable même s'il est lucide et qui se fait "gronder" quand il ne veut pas prendre ses médicaments ou ne mange pas car il ne le veut ou ne le peut plus.

    Ce n'est qu'une piste, mais ne vaut-elle pas la peine d'être examinée?

  • j'espère que des administrateurs de l'admd vont pouvoir le rencontrer très vite pour plus d'infos, pour que l'admd sorte des généralités du futur (indispensables)
    se battre pour une meilleure loi demain : oui
    mais se battre dès aujourd'hui, pour soutenir un médecin acculé par une mauvaise loi, pourquoi pas ?
    le dr labayle, le dr senet ont écrit et disent régulièrement avoir pratiqué des euthanasies "humainement", ils ne sont pas au tribunal
    plus de 1000 médecins ont signé la pétition pour soutenir leur collègue de Périgueux en disant qu'ils avaient pratiqué des euthanasies pour faire cesser des souffrances inutiles, aucun n'est au tribunal...
    alors pourquoi celui-ci est-il inculpé? Et ne doit-on pas l'aider, après information?
    Montrer que s'il a agi ainsi, c'est que la loi actuelle l'y oblige ! Sans préjuger du bienfait ou non de ses actes.

    il faut très vite s'informer car il ne faut pas laisser ce médecin seul devant le tribunal avec des accusateurs qui ne sont pas les familles des patients
    à l'heure actuelle, pas d'autre solution pour un médecin que d'agir clandestinement, donc seul, puisque la loi ne lui permet que l'euthanasie passive ... et lente...donc amenant une souffrance morale pour le patient, s'il est conscient, et pour sa famille.
    alors, en son âme et conscience, s'il estime qu'un patient arrivé en urgence n'a comme espérance de vie future qu'une "survie" en soins palliatifs (s'il y obtient une place...) en attendant la mort, et qu'il vaut mieux abréger ses souffrances, que faire d'autre qu'une euthanasie rapide et interdite, avec l'accord des familles peut-être, même non écrit?
    comment, à l'heure actuelle, un médecin pourrait-il répondre à une demande d'euthanasie d'un patient hors d'état de s'exprimer, alors que la majorité des français n'ont pas écrit leurs directives anticipées, qu'ils ne savent même pas que c'est possible: les médecins ne le font pas savoir, en général...
    dans une loi future, les directives anticipées devraient être obligatoires et leur respect aussi
    mais en l'absence de cette loi,
    la loi actuelle donne tout pouvoir au médecin pour décider de notre sort, difficile de lui reprocher après? surtout dans un service d'urgence, où, de toutes façons, les directives anticipées, si elles existent, ne doivent pas être lues, faute de temps...
    dès que notre information sera plus complète (je viens de lire tout ce qui est paru sur internet), j'espère que nous pourrons aider ce médecin, qui a agi avec la loi mauvaise que nous avons et qui a donc estimé être dans les cas de transgression nécessaire que recommande M Leonetti lui-même,
    parce que si la loi change demain, ce médecin n'en bénéfiera pas, il sera trop tard pour lui et ses patients,
    d'après mes lectures, ce médecin n'est pas un criminel, aucune famille ne s'est plainte, ses patients n'en disent que du bien, seule la délation de soignants (de soins palliatifs?, d'après ce que j'ai lu...) trois mois plus tard l'a fait « condamner », délation de collègues comme dans le cas du procès de Périgueux... (car en France, tout suspect est considéré comme un condamné... là aussi la loi n'est pas bonne...). la seule chose qu'il faudrait faire maintenant, avec la loi actuelle: le soutenir! Car il n'a pas eu d'autre choix que la clandestinité et la solitude pour aider ses patients à mourir dignement.
    Nous savons que les pro-life sont influents malgré leur petit nombre et qu'ils veulent prolonger les vies, même en survie, à tout prix, dans tous les sens du terme...
    doit-on obéir à une mauvaise loi, à un gouvernement obtus qui refuse de la changer depuis au moins deux ans, ou résister en son âme et conscience?
    fallait-il obéir à Pétain? Se soumettre à la délation recommandée ? ou résister? donc désobéir? Ce médecin a-t-il eu raison de désobéir à une loi injuste, comme tant d'autres ?

  • Je suis très sensible à l'actualité concernant l'affaire de Bayonne au sujet de l'euthanasie. En effet, je suis souvent en contact avec des personnes malades dont certaines d'entre elles sont en fin de vie.

    Il est indéniable qu'il faut tout faire pour prendre en charge la souffrance et je dirai même plus toutes les souffrances (physique, psychologique, morales, et celles spirituelles..) Doit-on pour autant légiférer sur l'euthanasie alors que les hopitaux peuvent et doivent se doter de moyens pour mettre en place des soins palliatifs.

    Seulement voilà, les budgets qui devaient être consacrés aux soins palliatifs, par un bon nombre d'hopitaux,en application de la loi Léonetti, sont au final utilisés pour d'autres objectifs beaucoup plus rentables financièrement parlant.

    Or, un sondage mis en place par opinionWay en janvier 2011, tire les enseignements suivants:

    53% des Français se déclarent insuffisamment informés sur les soins palliatifs. Même les 60 ans et plus, tranche d’âge pourtant fortement concernée, estiment à 40% être mal informés de ce type de soins. Les jeunes de moins de 35 ans sont eux 70% à se dire insuffisamment informés.

    Logiquement, les Français ne sont pas en capacité de définir clairement les soins palliatifs. Seuls 51% savent qu’ils consistent notamment en un accompagnement du malade et un traitement de ses douleurs.

    En outre, la dimension multiple de ce type de soins est méconnue : seul un tiers sait qu’ils consistent à «soulager psychologiquement » (34%) le malade ou encore à « accompagner les proches » (32%). Soulignons la méconnaissance des seniors à ce sujet : ils se montrent aussi peu au courant de la réalité des soins palliatifs
    que les autres catégories d’âge. A titre d’exemple,seulement 26% d’entre eux savent qu’ils comprennent aussi un accompagnement des proches.

    Enfin, 68% des Français ne savent pas qu’il existe une loi interdisant l’acharnement thérapeutique.

    Notons que les personnes les plus informées sur les soins palliatifs sont seulement 49% à la connaître. Soulignons aussi que même les plus diplômés ignorent en grande majorité l’existence d’une telle loi (66%).

    ce sondage met aussi en évience que les Français dont méfiants face à la légalisation de l’euthanasie

    Plus de la moitié des Français (52%) soulignent l’existence de risques de dérives liées à la légalisation de l’euthanasie. Ces risques sont surtout perçus par les seniors (62%) et les plus diplômés (55% des titulaires d’un diplôme d’équivalent supérieur à bac +2).
    Ces Français inquiets de la légalisation mettent en avant différents risques de dérives. Le premier élément d’inquiétude est le fait qu’on puisse, en société, décider légalement de la mort d’une personne (63%). Trois risques majeurs sont ensuite cités dans des proportions semblables, dont parmi eux la possibilité que des malades
    non consentants soient euthanasiés (57%).
    A cette méfiance rationnelle s’ajoute une dimension plus subjective : 63% des Français préfèrent qu’un de leur proche gravement malade bénéficie de soins palliatifs plutôt que de subir une injection mortelle.
    Ces résultats expliquent donc que 60% des Français préfèrent le développement des soins palliatifs à la légalisation de l’euthanasie. Notons que les personnes âgées et les plus diplômés sont les plus hostiles à donner la priorité à la légalisation de l’euthanasie (73% pour les 60 ans et plus et 70% pour les titulaires d’un
    diplôme supérieur à bac +2). Les plus jeunes et les moins diplômés se montrent plus partagés (56% des 18-34 ans et 54% des titulaires d’aucun diplôme/d’un bac professionnel).

  • Le sujet de l’euthanasie ne sera jamais clos tant qu’une loi permettant de placer le citoyen au cœur d’un sujet majeur concernant sa propre fin de vie ne sera enfin présentée et acceptée par tous.
    Pourquoi le politique décide seul ? Le citoyen a aussi son mot à dire, le choix de la solution de la fin de vie appartient à celui qui va partir et à lui seul.
    Chaque individu doit avoir le choix en fonction de son état de souffrance et de déchéance dans les derniers instants de vie ; soins palliatifs ou une aide à quitter ce monde dignement, chacun doit pouvoir décider de sa propre mort lorsque la fin est proche.
    La loi Léonetti ne règle qu’une partie du problème des fins de vie ; celle de mettre à l’abri les médecins par le truchement du « double effet d’un traitement » à savoir soulager et souvent faire partir le patient sous couvert de la loi désormais, ce qui peut dans certains cas être une forme d’euthanasie hypocrite car dans ce contexte l’information n’est pas toujours donnée aux proches.
    Il y a tant de possibilités pour faire partir un patient sans que le corps médical ne soit inquiété et cela commence par la simple injection de Morphine et si cela ne suffit pas on y ajoute de l’Hypnovel et pourquoi pas un troisième ingrédient type Rivotril et cela en toute discrétion (enfin presque, le dossier médical laisse des écrits) Nul besoin de curare ou autres substances…
    Combien de nos concitoyens n’ont pas compris la fin de vie d’un parent, d’un proche ? A lire sur ce point la fin de l’article « Oncologie pédiatrique, la dure vérité » sur le site santeusagers
    Le médecin du Centre Hospitalier de Bayonne au cœur d’une polémique depuis quelques jours a peut-être fait le bon choix pour les patients concernés (états désespérés, souffrances inhumaines) en espérant toutefois qu’une information précise ait été donnée aux proches, il faut en savoir un peu plus avant de se prononcer et de choisir tel ou tel camps.
    Il ne faut pas se méprendre il y a des équipes de soignants formidables dans les services de soins palliatifs et qui font un travail extraordinaire pour accompagner dignement, avec les proches, le patient en fin de vie (qu’il me soit permis ici de remercier les infirmières et médecins de l’Institut Sainte Catherine en Avignon, oui merci à eux pour l’humanité dont ils font preuve dans l’accompagnement de ma mère âgée de 83 ans…)
    Et puis il y a ceux qui n’ont pas cette humanité et qui trahissent des parents, une famille, en pratiquant une euthanasie, sans vous informer, sans vous accompagner. Ces professionnels qui n’acceptent pas l’échec et qui se cachent derrière « la seringue du double effet » pour en finir plus vite et cela est destructeur lorsqu’il s’agit du départ d’un Enfant de son Enfant (ils se reconnaitront par ces mots à l’Institut Curie de Paris)
    La dure réalité de la vie m’a fait connaitre les deux faces d’un monde médical, c’est pour cela que je souhaiterais un véritable débat avec nos politiques et les citoyens ayant vécus des expériences dans des fins de vie, débattre sur des vécus. Un débat qui ne peut-être réservé aux seuls politiques philosophes et religieux, nous sommes tous concernés…
    Philippe le papa de Jérôme un Ange désormais

  • "[...]Ils entrèrent dans la pièce décorée sobrement d'une petite table ronde où était posée une coupe de friandises aux couleurs vives.Six adultes et un très jeune enfant étaient réunies autour d'un lit. Une femme au visage émacié dont le corps était recouvert de pétales de fleurs blanches y était étendue. Elle parlait d'une voix faible avec les uns et les autres ; elle se tourna vers les visiteurs, leur sourit, les remercia d'être venus l'accompagner et demanda qu'on lui porte la coupe de friandises.Elle tendit une main squelettique, prit une friandise, la mangea lentement comme pour s'assurer de la puissance du narcotique, puis embrassa les siens,en prit une seconde et s'endormit avant même de l'avoir finie.Tous restèrent un moment silencieux puis le témoin officiel posa la main sur le dôme transparent qui surmontait le lit et regarda l'assemblée ; les membres de la famille, puis, après un temps d'hésitation, les Anciens et les Terriens firent un signe d’acquiescement. Le témoin referma alors le dôme qui s'emplit d'une brume légère ; un parfum de fleur d'oranger emplit la pièce et la voix du témoin affirma :"Elle voulait mourir, j'en témoigne : Kérimia Sorémis est à présent décédée ; merci à vous tous d'avoir accompagné sa démarche". Puis il se rapprocha des visiteurs et ajouta : "Sortons à présent ; ils vont chanter pour elle et parler des joies et des peines de son passé : ils seront mieux seuls".
    C'est, bien sûr, un extrait d'un roman de science-fiction, mais ce n'est pourtant pas une utopie. Ce temps viendra, mais seulement si une grande majorité d'entre nous le veut et le réclame.Il ne peut pas en être autrement pour qu'une loi aussi difficile à formuler puisse être votée. Concernant les derniers évènement, il faut attendre d'en savoir plus afin que tout soit parfaitement clair.

  • Bonsoir,

    Je suis adhérent de l'ADMD depuis de nombreuses années. je comprends la prudence de l'ADMD et c'est aussi pour cette raison que je n'ai pas encore signé la pétition en faveur du Dr Bonnemaison bien que ce ne soit pas l'envie qui m'en manque.Il manque en effet l'information essentielle sur la volonté des personnes décédées;
    La manifestation de soutien des soignants de l'hopital de Bayonne rapportée dans les journaux télévisés m'incline à penser que ce médecin mérite notre soutien.
    J'espère que vous pourrez très vite rencontrer ce médecin, ses collègues, peut être les familles des personnes décédées, ET PRENDRE TRES VITE UNE POSITION DANS CETTE AFFAIRE, qui aboutira je l'espère à une pétition de soutien.
    Il m'a été malheureusement donné d'assister à la lente et terrible agonie d'un ami qui par gestes demandait clairement la mort, laissant le médecin de glace, qui disait que deux heures de vie de gagnées valent la peine;
    Bien sûr qu'au delà de cette nouvelle affaire, c'est d'une loi dont nous avons besoin, et il faudra saisir l'opportunité des élections présidentielles pour relancer le débat.
    Bon courage pour la suite

  • Bonsoir,

    Je suis adhérent de l'ADMD depuis de nombreuses années. je comprends la prudence de l'ADMD et c'est aussi pour cette raison que je n'ai pas encore signé la pétition en faveur du Dr Bonnemaison bien que ce ne soit pas l'envie qui m'en manque.Il manque en effet l'information essentielle sur la volonté des personnes décédées;
    La manifestation de soutien des soignants de l'hopital de Bayonne rapportée dans les journaux télévisés m'incline à penser que ce médecin mérite notre soutien.
    J'espère que vous pourrez très vite rencontrer ce médecin, ses collègues, peut être les familles des personnes décédées, ET PRENDRE TRES VITE UNE POSITION DANS CETTE AFFAIRE, qui aboutira je l'espère à une pétition de soutien.
    Il m'a été malheureusement donné d'assister à la lente et terrible agonie d'un ami qui par gestes demandait clairement la mort, laissant le médecin de glace, qui disait que deux heures de vie de gagnées valent la peine;
    Bien sûr qu'au delà de cette nouvelle affaire, c'est d'une loi dont nous avons besoin, et il faudra saisir l'opportunité des élections présidentielles pour relancer le débat.
    Bon courage pour la suite

Les commentaires sont fermés.