Sur France 24, interviewé par Raphael Kahane je me suis, une fois de plus, demandé pourquoi, sur la fin de vie, on n’imite pas les les législations des pays qui nous entourent - et dont certains ont plus de 20 ans d’expérience -, plutôt que d’inventer des systèmes très compliqués !

Car ce qui est important, c’est finalement de respecter la volonté de mourir de la personne qui est dans les conditions de la loi.

Meme si le vote d’une loi sur l’aide à mourir sera une première étape, avec ces actuelles conditions restrictives votées par les députés, on risque malheureusement d’avoir encore bien des Français qui devront fuir à l’étranger pour mourir dignement !

Pour le prix français, découvrez Carine Bahanag, artiste féministe, accompagnée d’une mention spéciale pour Paulo Higgins, activiste trans.

 

 

Pour le prix francophone, retrouvez Bouhdid Belhedi, directeur exécutif de l’association Shams Tunisie, ainsi qu’une mention spéciale pour Aimé Biombi Akiki, activiste trans camerounaise.

 

Pour le prix international, découvrez Viktória Radványi, présidente de la @budapestpride , avec une mention spéciale pour Yıldız Tar, journaliste trans en Turquie.

 

 

Cette année, pour la première fois, un prix spécial a été remis à la Maire de Paris, en reconnaissance de sa politique et de son engagement de longue date en faveur de l’inclusion.

 

Je tiens à remercier sincèrement l’ensemble des membres du jury pour leur travail dans la sélection de ces lauréat·es, qui agissent chaque jour pour les droits des personnes LGBTQIA+, souvent dans des contextes particulièrement hostiles dans de nombreuses régions du monde.