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L’addiction et la réduction des risques doivent être au cœur de priorités sanitaires, loin des stigmates et des discours répressifs.

J’ai pu revenir sur la politique de santé publique engagée que nous menons avec Anne Souyris puis Anne-Claire Boux à la demande de Anne Hidalgo, depuis 2021 à Paris, pour répondre aux enjeux du chemsex à l’occasion de la restitution du projet ARPA-chemsex organisée par AIDES et la Fede Addiction au Ministère de la Santé et de la Prévention.
En trois ans, nous avons construit une réponse complète : campagnes de sensibilisation, cartographie de l’offre de réduction des risques et de soins, ainsi que des journées thématiques pour mobiliser l’ensemble des acteurs concernés.
Nous portons un message clair : l’addiction et la réduction des risques doivent être au cœur de priorités sanitaires, loin des stigmates et des discours répressifs.
Madame la Ministre G. Darrieussecq, nous devons collectivement nous saisir de ce sujet ! Le phénomène du chemsex concerne entre 100 000 et 200 000 personnes en France selon le rapport Benyamina. Arrêtons de considérer ces citoyens comme une minorité isolée mais comme des personnes ayant besoin d’accompagnement et de soins adaptés.
N’hésitez pas à signer la pétition appelant le gouvernement à s’engager enfin lancée par Elus Locaux Contre le Sida : change.org/p/urgence-chemsex.

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