Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

sécurité

  • +11,2% des cambriolages/un an : la sécurité, principale promesse du candidat Sarkozy !

    Depuis des années, Nicolas Sarkozy a fait de la lutte contre l’insécurité l’un de ses principaux chevaux de bataille. Le moins qu’on puisse, c’est qu’après tant d’années au pouvoir, c’est un défi perdu pour le président sortant et cela au détriment de bien des Français.
    Les derniers chiffres des cambriolages sont en effet inquiétants : entre mai 2010 et avril 2011, 180.000 cambriolages dans des habitations principales ont été relevés. C’est 11,2% de plus que les faits constatés l’année précédente !
    Une fois de plus, la politique ultra sécuritaire du gouvernement, c’est d’abord celle d’un discours de plus en plus droitier. Dans les faits, c’est une politique très répressive qui échoue car elle oublie qu’une répression n’est efficace que si elle est équilibrée et que la prévention, notamment le moyens pour un vraie police de proximité, est indispensable.
    Mais ce qui est le plus amusant, c’est d’entendre la droite ironiser sur l’irresponsabilité de la gauche sur la question de la sécurité alors que son bilan est tout simplement calamiteux…

  • Assez de la dérive sécuritaire du gouvernement !

    Avant la trêve estivale, le gouvernement n’a pas cessé de faire des annonces sécuritaires dont certaines sont très choquantes pour une démocratie en temps de paix.

    Cette dérive sécuritaire ne trompe personne : il s’agit de faire oublier les affaires qui secouent le gouvernement et surtout l’amère pilule des retraites. Elle survient aussi à un moment où chacun peut faire le bilan du gouvernement après tant d’années de discours musclés et tant de lois sur la sécurité publique.

    Et le bilan est là : les Français ne sont pas satisfaits des résultats en termes de sécurité.

    Alors pour éviter de s’expliquer, on trouve des boucs émissaires avec les étrangers ou les parents d’enfants délinquants.

    Tout cela n’est pas sérieux mais le pire c’est que cette dérive - pour attirer les voix extrêmes qui se sont évaporées en 3 ans - est contraire à nos traditions démocratiques.

    La sécurité : oui !

    La démagogie, le populisme : non !