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Réunion publique de l’ADMD à Angoulême à 16h30

A l’invitation de Jean-Michel Nivet, délégué de l’ADMD en Charente, j’animerai une réunion publique sur la fin de vie à la Cité Internationale de la bande dessinée ce vendredi 7 juin à 16h30.
C’est un grand plaisir de revenir à Angoulême que je connais bien pour avoir été longtemps le collaborateur du député de Cognac et président du Conseil général de la Charente.

 

Commentaires

  • On le déplore dans les BARS TABAC , mais le Mariage ouvert à tous n'est pas encore une réalité !
    L'histoire du jour
    Une belle-mère et son beau fils interdits de mariage
    En Moselle, un homme et sa belle-mère sont tombés amoureux. Ils veulent se marier. Ils ont même prévu la cérémonie. Mais leur mariage est interdit.
    La loi est formelle : vous n'avez pas le droit d'épouser votre belle-mère ou votre beau-fils. Pourtant, c'est le rêve d'Eric Holder et Elisabeth Lorentz. Il a 44 ans, elle en a 47. Ils ont prévu de se marier chez eux, en Moselle, le 27 juillet prochain. Tout est prêt : la salle, le traiteur, l'orchestre... Les invitations sont lancées. Mais Elisabeth et Eric ont failli oublier l'essentiel : le Code civil.

    Ils ont suivi leurs sentiments. Ils se connaissent depuis plus de vingt ans. Ils ont presque le même âge et pourtant, entre eux, il y a ce lien officiel : entre 2003 et 2006, Elisabeth était mariée avec le père d'Eric. Pendant ces trois années, elle était donc la belle-mère d'Eric. En 2006, son mari la quitte. Elisabeth est malheureuse. Son beau-fils, Eric, la réconforte. Au fil des mois, ils se rendent à l'évidence : leur affection s'est transformée en amour.

    Le nouveau couple décide alors de se marier. Mais à la mairie, le service d'état-civil les alerte : leur union paraît illégale. La loi interdit en effet "en ligne directe, le mariage entre tous les ascendants et descendants et les alliés, dans la même ligne". Eric et Elisabeth sont dans cette situation, même si Elisabeth ne vit plus avec le père d'Eric. Seul le président de la République pourrait autoriser leur mariage, à une condition : que le père d'Eric soit décédé.

    Ce n'est pas le cas. Le couple écrit tout de même au chef de l'Etat, qui vient de leur répondre : il ne peut pas autoriser cete union. Elisabeth est effondrée : "je vis un cauchemar, dit-elle. Quand Eric m'a demandée en mariage, j'étais heureuse, sur un petit nuage. Aujourd'hui, on m'accuse d'inceste". Eric ne comprend pas, lui non plus : "On parle de mariage pour tous (...) La loi autorise même deux cousins à se marier, et nous, on ne peut pas..."

    Le couple vient d'adresser une nouvelle lettre à François Hollande. Il lui demande de lever l'interdiction. Elisabeth et Eric pourraient aller jusqu'à la Cour européenne des droits de l'homme. Ils ont un espoir. Que la Cour condamne la France, comme elle a condamné la Grande-Bretagne. En 2005, elle a obligé le gouvernement britannique à autoriser un mariage entre un beau-père et une belle-fille.

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