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bruno-pascal chevalier jean-luc romero

  • Soutenez Bruno-Pascal Chevalier !

    ee691264786959dfef1f94877cdd30da.jpgLa grève des soins qu’a entreprise Bruno-Pascal Chevalier, président du Patchwork des noms, contre les franchises médicales est importante. Bruno-Pascal, qui est séropositif, prend de grands risques pour sa santé.
    Lors des Etats-généraux d’ELCS, j’avais eu l’occasion de dire publiquement à Roselyne Bachelot que les personnes atteintes de pathologies de longue durée devaient être exclues de ce système de franchises.
    Séropositif depuis presque 23 ans, je suis bien placé pour savoir qu’on ne prend pas des médicaments par plaisir quand on est atteint d’une grave maladie. Au contraire ! On préférerait s’en passer. Depuis le 1er décembre 1987, j’ai un traitement et je le prends dimanche et jours fériés… Comme plus de 8 millions de personnes atteintes dans notre pays de graves maladies.

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  • Baisser les bras ?

    19f18d10226f4de8d3bd3fe6eef9ee2a.jpgBruno-Pascal Chevalier, atteint du sida, a décidé de stopper ses traitements et de faire une grève des soins contre les franchises médicales. Le président du Patchwork des Noms ne veut se résigner face à des mesures qui apparaissent trop souvent dirigés contre les malades. Alors qu’il faudrait se battre contre la maladie !
    J’admire son combat tout en espérant que l’arrêt de ses traitements n’aura pas de conséquences sur son état de santé. Sa réaction extrême, qui met sa vie en danger , nous montre à quel point aujourd’hui une frange de la société se sent coupable. Coupable d’être malade. Coupable au point de devoir se cacher pour voyager.
    Même si ce geste courageux de Bruno-Pascal permet de tirer une nouvelle fois la sonnette d’alarme, je me demande parfois à quoi mènent bien des combats que je porte et notamment celui collectif contre le sida. Face à cela, face à la vie qui parfois s’apparente à la survie, j’ai la tentation de baisser les bras.