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Les soins des sans papiers pauvres plus difficiles

Depuis le 1er janvier, les étrangers en situation irrégulière les plus pauvres (moins de 634€ de revenus par mois), présents sur notre territoire depuis plus de trois mois, doivent s’acquitter d’une taxe de 30€ pour bénéficier de l’aide médicale d’Etat. Cette mesure, dénoncée par les associations et surtout par le Conseil national du sida auquel j’appartiens, est d’ailleurs dangereuse en termes de santé publique.
Il est regrettable que le discours idéologique sécuritaire et anti immigrés prime sur toute autre considération, notamment humanitaire et de santé publique. Quand l’idéologie s’en prend à la santé, ça ne donne au final rien de bon…

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