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Message suite au reportage sur Chantal

Chers amis,

Vous êtes nombreux à m’avoir fait part de votre émotion en entendant le témoignage de Chantal Sébire, lundi soir sur France 3 ou mardi soir sur France 2.
Dans un communiqué publié à l’ensemble des médias nationaux et à l’Agence France Presse mardi matin, j’indiquais le soutien que l’ADMD apporte à Chantal et, surtout, lui apportera.
Mardi soir, je me suis entretenu avec Chantal. Je dois l’appeler de nouveau ce mercredi après-midi. Un rendez-vous a été pris dans les tout prochains jours pour évaluer avec elle ses besoins.
Lors de la prochaine réunion de notre conseil d’administration de l'ADMD, le 11 mars, je rendrai compte de nos actions et de nos possibilités d’action.
Naturellement, la responsable de la commission médicale, Claudine Lassen, et le responsable de la commission juridique, Gilles Antonowicz, sont associés à ces démarches.
Je comprends vos témoignages sincères de générosité et d’estime. Je comprends votre souhait d’agir.
Mais nous n’aiderons efficacement Chantal à accomplir sa volonté, dans les conditions qu’elle souhaite elle-même, qu’à l’unique condition que nous fassions preuve de sang-froid.
En toute amitié,
Jean-Luc Romero
Président de l’ADMD

Commentaires

  • Il faudrait qu'un médecin qui nous est favorable aide cette femme à mourir selon ses désirs ce qui provoquerait un retentissement important favotrable à notre cause car ce n'est, hélas, qu'avec des cas semblables que nous obtiendrons notre loi.
    Bon courage, Monsieur le Président, nous sommes à vos côtés et continuons la campagne de signatures et d'envoi de cartes à nos élus.

  • Je viens de lire dans le Figaro du 28 02 "Un nouveau drame relancele débat sur l'euthanasie" que Chantal Sebire "se dir dépassée par l'impact médiatique ...""et surtout on la sent vouloir éviter les récupérations, notamment par l'ADMD qui l'a aussitôt contactée après un premier message à la télévision et aussitôt contactée après un premier message à la télévision et aussitôt envoyé un communiqué de son engagement à ses côtés.
    " ce sont eux qui vous envoient ? Ce sont eux qui vous demandent de faire un article ?, interroge Chantal qui ne veut désormais plus parler.
    Quelle sera notre réponse à cet article quasi diffamatoire ?
    Faudra-t-il ne prendre position de défense que vis à vis des dhérents ADMD qui demandent qu'on les aide ...au cas où on le pourrait, ce qui n'est pas le cas.
    Une adhérente ADMD de l'Yonne.

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