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A lire dans La Provence de ce dimanche

medium_la_provence.jpgJ’ai assisté à la dernière Gay Pride de la saison qui se déroule en France.
Comme tous les ans, c’est celle de Marseille qui a clôturé cette intense période de revendications pour l’égalité entre homos et hétéros, dont son origine provient de la révolte de Stonewall en 1969, il y a déjà 38 ans.
Malgré une chaleur caniculaire, jamais la Gay Pride marseillaise n’avait réuni autant de monde : entre 4000 et 7000 personnes. A Marseille, je n’étais pas le seul élu de droite présent, car si Jean-Claude Gaudin n’était pas présent physiquement, il avait envoyé une élue, Monique Venturini, pour le représenter… comme tous les ans. D’ailleurs, peu de gens le savent, mais la ville de Marseille est une des rares villes de France à fournir toute la logistique nécessaire pour l’organisation de cette manifestation et pour la cérémonie en mémoire des Oubliés de la mémoire qui s’en est suivi.
La partie de la droite qui méprise encore ces manifestations ferait bien de regarder ce qui s’est passé cette année. 800.000 personnes à Paris et jamais autant d’affluence dans les nombreuses Gay Pride de province. De Lille à Marseille, de Montpellier à Nice, de Toulouse à Bordeaux, rarement autant de gens étaient descendu dans la rue pour défendre la revendication d’égalité. Un signe clair à la classe politique. Un signal à entendre au risque d’être sanctionné par des Français qui n’acceptent plus d’être des citoyens de seconde zone.
A cette occasion, j’ai été interviewé par le journaliste de La Provence, Laurent Léonard, et son entretien - Trois questions à… - est sorti ce matin dans l’édition de Marseille.

Commentaires

  • Jean-Luc, j'aimerais aussi vous entendre sur certaines questions qui me paraissent extrèmement importantes. Je vais faire court : selon-vous, peut-on expulser des enfants ?

    Merci

  • Effectivement la première Marche des fiertés "gay pride" est partie de la rue de Christopher Street aux USA...

    Bises,
    Christophe

  • 38 ans c'est très long lorsqu'on attend l'égalité. Je pense moi aussi que la droite risque d'être sanctionnée si elle refuse l'égalité.
    Je vous embrasse

  • A mon avis la Pride de Toulouse s'est améliorée en acceptant des syndicats et des partis politiques cette année.

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