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La fin des « afters » à Paris : Paris musée ? Merci M. le Préfet !

Depuis quelques temps, nombre de professionnels de la nuit et bien sûr les jeunes Parisiens s’inquiètent des mesures qui sont prises et qui font que Paris est de plus en plus désertée par celles et ceux qui font la fête au profit de Londres, Barcelone, Amsterdam, Berlin et même Bruxelles !

En décembre dernier, un décret a fixé à 7 heures l’horaire de fermeture de tous les établissements de nuit. Si cette mesure a permis d’harmoniser la fermeture de bien des discothèques qui, dans certains départements devaient fermer plus tôt, elle n’a pas pris en compte ces « afters », c’est-à-dire ces fêtes qui ont lieu souvent de 6 heures du matin à midi.

Pourtant, la préfecture de police assume cette mesure car les « afters » seraient en contradiction avec la volonté de lutter contre l’alcoolisme.

Personne ne remet en cause la lutte contre l’alcoolisme ni la lutte contre le bruit. Mais Paris, grande capitale européenne, ville la plus touristique du monde ne peut se résumer à une ville musée. Elle doit être aussi un lieu de fête ! Interdire les « afters » est encore un mauvais coup porté au rayonnement de notre capitale. Un coup pour les fêtards bien sûr et pour les amoureux de la nuit, mais aussi un coup pour notre prestige et notre… économie !

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