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Pour une société plus juste le 10 octobre à 19h30

Tous les 2èmes lundis du mois, avec mes amis d’Aujourd’hui, Autrement, j’organise un café politique au Babu [salle du 1er étage] – 18, boulevard Montmartre 75009 Paris [Métro grands boulevards].
Ce 10 octobre à 19h30, nous recevons Vincent David, directeur des relations extérieures de Max Havelaar France et Jean-Marc Borello, délégué général du groupe SOS qui développe des activités de commerce équitable sous la marque Alter Mundi.
Vous êtes les bienvenus à ce débat ouvert à tous et que j’animerai avec Philippe Lohéac, en présence d’ITV, la chaîne d’info sur le cable et la TNT, qui devrait me suivre toute la journée du 10 octobre.
A lundi prochain !

Commentaires

  • Vos débats sont-ils payants? et faut-il être adhérent pour venir ?

  • Nos débats sont ouverts à tout le monde chère Laure et bien sûr gratuit. Seule contrainte, un café politique a lieu... dans un café : il faut donc boire un verre.
    J'espère vous voir lundi.

  •  Tout d'abord un copié collé d'un article paru sur un site gay :
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    Delanoë se fait déloger du gymnase
    Jeudi 06 octobre 2005
     
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    - articles les plus envoyés
    - articles les plus imprimésOn a frôlé l’émeute. Hier soir, Bertrand Delanoë faisait halte au gymnase Jean-Jaurès (19e), dans le cadre de sa tournée annuelle des arrondissements. Si le ton est parfois monté lors de ces comptes rendus de mandat, jamais le maire de Paris n’avait été confronté à de tels débordements. 700 personnes avaient fait le déplacement, dont un bon tiers particulièrement revendicatives. Collectifs d’habitants expulsés et particuliers l’ont violemment épinglé sur le logement, thème sensible à Paris depuis la rentrée. Les familles évacuées vendredi d’un immeuble de la rue Jean-Jaurès, qui avaient été hébergées dans ce gymnase puis délogées mardi soir, étaient très virulentes.
    « Si vous n’êtes pas contents, sortez », rétorque Bertrand Delanoë, relançant de plus belle ses détracteurs qui hurlent qu’« il n’y a pas de démocratie ». Le maire tente de calmer la foule, sous les sifflets, en vain. La moitié de la salle est debout, certains habitants veulent « lui parler personnellement ». « Je suis agent de la Ville de Paris, SDF, et ma femme est enceinte. Je veux voir le maire pour avoir un logement, j’ai envoyé trois courriers », s’énerve un homme, accompagné de son épouse et de ses deux enfants, au vigile d’un service de sécurité débordé par les événements.
    Un autre homme échappe à leur vigilance, s’approche du maire. Une bagarre éclate. Roger Madec, maire (PS) du 19e tente de prendre la parole. « Laisse-moi faire », lui ordonne-t-il. Bertrand Delanoë met fin au débat. « Ces actions sont faites par une minorité et je ne veux pas lui donner raison, car je suis la majorité », lance-t-il en sortant. Magali Gruet

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    Il y a beaucoup, beaucoup de choses que je vous reproche, jean-luc Roméro ( ma technique est un miroir de celle de Philippe Lohéac, je commence par faire du rentre dedans, puis je caresse à la fin, et non pas le contraire, parce que je pense que l'on ne gère pas les relations humaines en temps de crise comme on vend des contrats commerciaux : je mise sur l'impasse totale de votre politique, à mon avis complètement avérée au niveau planétaire depuis 25ans de sida, pour qu'enfin on finisse par entendre l'autre discours car il y en a un.

    Toujours est-il que si j'accorde à Bertrand Delanoé des excuses en raison de l'agression au couteau dont il a été victime il y a quelques mois, laissez - moi vous dire que je lui reproche encore bien plus de choses qu'à vous, outre que sa réaction dans cette affaire d'hier a été complètement ratée, son argument sur la majorité qui s'impose par sa seule majorité, est des plus risibles venant d'un homosexuel. On le savait cassant, mais je crois aussi qu'il n'est pas si malin que ça.

  • Si ma politique mène à l'impasse, jcm, la vôtre - le bareback -mène directement à la souffrance et à la mort.

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