C’est drôle la vie quand ce n’est pas triste !
Le soleil est au zénith sur la belle plage de sable blanc de l’hôtel Sofitel de Djerba. J’ai lu, ce lundi 1er août, d’un seul trait, le livre de mon amie Tristane Banon : J'ai oublié de la tuer
J’ai tellement été captivé par la lecture de cet ouvrage que ma peau, pourtant déjà bien hâlée, a viré au rouge vif.
Bon, certes, ce roman ne fait que 133 pages, remerciements compris. Mais sincèrement, il mérite que l’on brûle pour lui.
J’ai pourtant mis du temps à l’ouvrir.
Tristane me l’a offert au réveillon de la nouvelle année 2005 qu’elle a passé chez moi, Porte-Dorée. La dédicace du livre aurait dû attirer mon attention bien plus tôt : « C’est drôle la vie quand ce n’est pas triste ! »
Bien sur, je ne vais pas vous raconter l’histoire : juste vous dire que ce roman autobiographique est bouleversant et qu’il mérite que vous l’emmeniez dans vos bagages.
C’est tout. Je ne dirai rien de plus …
Juste que je suis d’accord avec toi, ma chère Tristane : « C’est beau, Aurélien, comme prénom … ».
Commentaires
Bonjour,
je découvre votre blog, interessant!
Vous avez intelligence et générosité.
Un socialiste(et oui !)
Bonjour,
Je rajouterai quelques éléments au portrait fait par Denis : Humanité, sincérité, générosité, courage et intelligence...Ce quinté est à mettre dans n'importe quel ordre, il fonctionne toujours....
Bonnes vacances amplement méritées... et attention aux coups de soleil.....
Je pense, mon cher Denis, que sur certains sujets, les clivages ne veulent pas toujours dire quelque chose.
On peut se retrouver sur de nombreux sujets et je m'en réjouis. Merci en tous cas de surfer sur mon blog et n'hésitez pas à faire vos commentaires surtut quand vous n'êtes pas d'accord.
Merci à Aline pour sa fidélité et sa gentillesse.