Ce 17 mai, nous avons rendu hommage à Bruno Lenoir et Jean Diot, derniers hommes exécutés en France pour homosexualité.

Arrêtés rue Montorgueil, condamnés à mort et brûlés en place publique pour ce qu’on appelait alors un « crime contre-nature », leur sort tragique rappelle l’histoire violente de la répression des personnes LGBTQIA+.

À travers cette cérémonie, la Ville de Paris affirme son engagement pour la mémoire, la reconnaissance et la dignité des personnes LGBTQIA+. Se souvenir, c’est aussi lutter : contre les discriminations, contre l’oubli, contre les violences toujours trop présentes.

Pour cette troisième édition, la Ville de Paris réaffirme que le Bal de l’Amour n’est pas qu’une fête : c’est un acte politique.

Une nuit pour célébrer nos fiertés, revendiquer nos droits et affirmer haut et fort que l’amour n’a pas de genre et pas de frontière.

Vous étiez plus de 12 000 à être au rendez-vous !

Merci à @annehidalgo, aux élu·es présent·es, aux militant·es, artistes, allié·es pour votre mobilisation constante, vous qui faites de ce bal et de notre ville un espace de liberté et de lutte.

À Paris, l’amour est et restera une force de résistance.