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Après ce soir, amis grévistes, pensez aux usagers !

b3a6d472c0a8a6a541bd955936572812.jpgVoilà presque une semaine que les transports en commun ne fonctionnement quasiment plus en Ile-de-France et dans bien d’autres villes de notre pays.
Aujourd’hui, toutes les catégories de fonctionnaires seront en grève. Demander aux grévistes de la SNCF, de la RATP de nous épargner aujourd’hui fait partie du rêve irréalisable.
Mais à partir de mercredi commencent enfin les négociations.
De grâce, mesdames et messieurs les grévistes pensez à nous, usagers des transports, qui sommes aujourd’hui épuisés par une semaine de galère. Pensez que parmi nous, il y a aussi des millions de personnes qui vivent avec des pathologies de longue durée et qui continuent pour survivre à aller travailler. Et qui, aujourd’hui, sont à bout. Et je sais de quoi je parle.

Après ce soir, amis grévistes, pensez aux usagers ! [suite]

Vous n’êtes pas d’accord avec une réforme du gouvernement pourtant annoncée pendant la campagne électorale et donc validée par le vote des Français. Mais je vous comprends encore, le droit de grève est un droit fondamental et cette réforme doit être concertée. Mais votre droit va de paire avec un autre principe : la continuité du service public.
Et aujourd’hui, vous sentez bien que ce n’est pas le gouvernement auquel vous souhaitez vous confronter qui souffre – chaque ministre est conduit et peut disposer de bien des moyens pour se déplacer – alors négociez et après ce soir, pensez enfin aux usagers ! Ils le valent bien...

Commentaires

  • Sur bien des points, tu as raison et j'apprècie que ce billet n'ait pas été écrit plutôt.
    Néanmoins, si les gens de ton parti qui font ce gouvernement n'avaient pas tant tardé à ouvrir les négociations (seulement mercredi !!) et surtout si ce gouvernement qui se croit républicain et démocratique (mort de rire) avait commencé par là, alors nous n'en serions peut-être pas à ce point de rupture.
    Et heureusement qu'il reste des gens dans ce pays en décomposition sociale pour ne pas accepter de se laisser manger toute la laine sur le dos.

  • Des négociations NON, des réformes OUI-. Et qu'ils retournent tous au boulot, car tous ces grèvistes ont cette chance, d'avoir du travail.

  • En effet, Colette, ils ont de la chance. Celle que n'ont pas les futures chômeurs quand l'âge de partir pour les premiers sera venu.
    Diantre, "des négociations, NON". Quel fachisme !!! Une signature, un nom ? Du courage ? Non plus !

  • désolée de vous avoir fâchée, Olivier, nous n'avons, certes, pas la même conception des choses, et dans notre Provence, nous avons le soleil!!!

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