Si vous auriez pu glisser à cet albatros notre souhait qu'il se calme envers le Président de l'UMP, et certes à défaut qu'il vous entende, quel bonheur pour nous qui aspirons à l'union de la droite dans le respect de celles et de ceux qui la composent.

Tu le trouves comment Debré ? Si tu veux me dire la vérité, écris-moi directement sur mon mel, je ne répèterai pas !!!

Si la question s'adresse à moi, dis-le moi, je peux répondre ici. Je n'ai pas pour habitude de parler dans le dos des gens, même pour l'albatros perché ; ce que je pense je le dis toujours publiquement. Je revendique ma franchise et la liberté de parole qui est la mienne.

2 commentaires :

on sent comme un coup de froid depuis les élections allemandes...

L'albotros perché pourrait peut-être s'envoler en payant sa taxe de 3 Euros aux compagnies aériennes

;-) Il est vrai, Jean-Luc.. Sage commentaire, il ne faut de toute manière pas en effet alimenter le tourbillon des petites phrases, qui conduisent aux petites piques, qui conduisent elles-mêmes aux petites rancoeurs. Pour autant, lui qui revendique tant vouloir défendre l'esprit des institutions de la Ve, sa charge de Président de l'Assemblée Nationale devrait lui inspirer plus de neutralité. A moins qu'il ne veuille redescendre du perchoir, naturellement. Mais son comportement actuel dénature un peu la fonction, ô combien importante dans notre Constitution et respectable, et puis ça devient agaçant cette répétition quasi psycho-obsessionnelle. J'espère qu'au moins la nuit, il ne pense pas à Nicolas Sarkozy, ça va lui faire des cheveux blancs à force. Déception et agacement, c'est ce qu'il m'inspire en ce moment. Quant à ses combats politiques de fond, en particulier la lutte contre le sida, ils sont estimables et ne devraient pas être gâchés par de la petite politique. En tant que Pdt de l'Assemblée, il devrait se placer au dessus des querelles d'appareil, et s'élever un peu.

Oui, c'est tout à son honneur. Je ne savais pas.

Je crois que Jean-Louis Debré est précisément dans son rôle de président de l'Assemblée Nationale lorsque, d'une façon qui lui appatient, il demande un peu de silence dans les rangs. Il y a à l'Elysée un président qui préside et à Matignon un Premier ministre qui gouverne. Ceci restera vrai jusqu'aux prochaines échéances électorales. En 2007, donc. Toutes volontés de contester ce fait démocratique sont autant de coups portés à la vie politique et, in fine, à notre propre crédibilité.
Gageons que si les critiques contre les deux responsables de l'exécutif cessent, Jean-Louis Debré retrouvera sa sérénité.
A Sébastien, je dirai qu'il faut se méfier des bons acteurs. On finit toujours par croire qu'ils sont leur personnage !
Cordialement,