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Les personnes handicapées ne font pas confiance aux politiques.

medium_handicapes_2.jpgDébut mars, l’association des paralysés de France (APF) a commandé un sondage à l’IFOP. De ce sondage qui vient d’être publié, il ressort que 82% des personnes handicapées estiment que le handicap n’occupe pas une place suffisante dans la campagne électorale, regret partagé par 73% des non handicapés…
64% ne font pas confiance aux politiques pour régler leurs problèmes.
Au titre des priorités pour les personnes handicapées, viennent logiquement l’accessibilité (29%), et des revenus égaux au Smic pour 22%.
C’est Ségolène Royal qui est créditée de la meilleure appréciation pour améliorer leurs conditions de vie avec 38%, suivie de François Bayrou avec 19%, puis enfin de Nicolas Sarkozy avec 18%.
Je l’avais déjà évoqué sur ce blog il y a quelques semaines : le handicap est trop souvent oublié dans cette campagne.

 

Les personnes handicapées ne font pas confiance aux politiques. [suite]

Dans les meetings, cela fait l’objet de courts passages dans les discours. Quant aux journalistes, ils posent rarement des questions sur ce thème aux candidats. medium_Handicapes.jpg
Alors que la campagne officielle s’ouvre, il devient impératif que les candidats indiquent clairement leurs intentions sur tous les sujets liés au handicap. On ne peut se contenter des programmes écrits des candidats qui n’évoquent jamais le degré de priorité des mesures qu’ils s’engagent à prendre.
Pour cela, les journalistes doivent aussi et bien evidemment jouer leur rôle en posant des questions précises aux candidats. C’est le moment ou jamais !

 

Commentaires

  • Madame Royal, a-t-elle dans sa région, œuvrée exceptionnellement en faveur des handicapés de sa région ?
    Ou est-ce par un hasard, volontaire ou involontaire, qu’elle s’est trouvée en présence d’un handicapé émotif chez France 1, ce qui aurait pu arriver à José Bové aussi bien qu’à Nicola Sarkozy, et je pense que l’un comme l’autre aurait eu la même réaction de compassion que madame Royal.
    Mais tant que vous ne nous donnerez pas, chiffre en main, l’inventaire des aides accordées par madame Royal aux handicapés de sa région, je ne mettrai pas madame Royal au-dessus des autres candidats à la présidence de la République.
    Et vous, Jean Luc Romero, qu’avez vous dit au sujet de cette question à Nicolas Sarkozy, par exemple relativement à ce qu’il prévoit de faire en notre faveur quand il sera le patron de son gouvernements et de ses ministres ?
    Je suis d’accord avec son ministère de l’immigration, avec son contrat d’union civile pour les homosexuels, avec le rabaissement de la majorité pénale à 12 ans pour les récidivistes, avec l’apprentissage d’office, dès 14 ans, pour les garçons et les filles qui s’emmerdent, à l’école, et ils sont nombreux, etc.
    Je pense que Nicolas Sarkozy devrait aussi baisser la majorité sexuelle à 13 ans, car aujourd’hui, à 13 ans, les garçons et les filles en savent autant que leurs parents sur ce genre de loisir charnel !
    Et il faudrait mettre à leur disposition des moyens de contraception gratuits.
    J’aimerais, s’il vous plait, que vous nous disiez concrètement, qu’est ce qu’il a prévu dans son programme pour aider les handicapés à se débrouiller dignement dans leur vie.
    Et pour nous, par exemple, les handicapés visuels, quel financement pour nous équiper en lecteur d’écran à synthèse vocale, quand on sait que seul, tout nu, le logiciel d’un lecteur d’écran à synthèse vocale, comme celui avec lequel je vous lis et je vous écris, coûte entre 12 mille et 14 mille francs !
    Il faut pas demander à la sécurité sociale de nous rembourser ce genre de prothèse, ni à certaines régions même quand elle sont sous gestion socialiste… comme madame Royal ou monsieur Hollande !
    Alors qui peut nous aider?
    L’UMP de monsieur Sarkozy se comportera-t-elle autrement ?
    Qu’il vous le dise vite pour qu’on vote pour lui aussitôt, et quelques jours après pour ses compagnons aux législatives !

  • Madame Royal, a-t-elle dans sa région, œuvrée exceptionnellement en faveur des handicapés de sa région ?
    Ou est-ce par un hasard, volontaire ou involontaire, qu’elle s’est trouvée en présence d’un handicapé émotif chez France 1, ce qui aurait pu arriver à José Bové aussi bien qu’à Nicola Sarkozy, et je pense que l’un comme l’autre aurait eu la même réaction de compassion que madame Royal.
    Mais tant que vous ne nous donnerez pas, chiffre en main, l’inventaire des aides accordées par madame Royal aux handicapés de sa région, je ne mettrai pas madame Royal au-dessus des autres candidats à la présidence de la République.
    Et vous, Jean Luc Romero, qu’avez vous dit au sujet de cette question à Nicolas Sarkozy, par exemple relativement à ce qu’il prévoit de faire en notre faveur quand il sera le patron de son gouvernements et de ses ministres ?
    Je suis d’accord avec son ministère de l’immigration, avec son contrat d’union civile pour les homosexuels, avec le rabaissement de la majorité pénale à 12 ans pour les récidivistes, avec l’apprentissage d’office, dès 14 ans, pour les garçons et les filles qui s’emmerdent, à l’école, et ils sont nombreux, etc.
    Je pense que Nicolas Sarkozy devrait aussi baisser la majorité sexuelle à 13 ans, car aujourd’hui, à 13 ans, les garçons et les filles en savent autant que leurs parents sur ce genre de loisir charnel !
    Et il faudrait mettre à leur disposition des moyens de contraception gratuits.
    J’aimerais, s’il vous plait, que vous nous disiez concrètement, qu’est ce qu’il a prévu dans son programme pour aider les handicapés à se débrouiller dignement dans leur vie.
    Et pour nous, par exemple, les handicapés visuels, quel financement pour nous équiper en lecteur d’écran à synthèse vocale, quand on sait que seul, tout nu, le logiciel d’un lecteur d’écran à synthèse vocale, comme celui avec lequel je vous lis et je vous écris, coûte entre 12 mille et 14 mille francs !
    Il faut pas demander à la sécurité sociale de nous rembourser ce genre de prothèse, ni à certaines régions même quand elle sont sous gestion socialiste… comme madame Royal ou monsieur Hollande !
    Alors qui peut nous aider?
    L’UMP de monsieur Sarkozy se comportera-t-elle autrement ?
    Qu’il vous le dise vite pour qu’on vote pour lui aussitôt, et quelques jours après pour ses compagnons aux législatives !

  • Handicap psychique, la schizophrénie, prévention des jeunes.

    L’éducation laïque et religieuse doit informer les jeunes du contenu de cette maladie psychique :

    La schizo touche 1% de la population, débute après l'adolescence puis 20% se suicident.
    Etre schizo, - trouble de l’association - c’est ne pas reconnaître sa « maladie » et l’attribuer à un « monde extérieur » persécutant qu’est le délire d’imagination.

    La psychose hallucinatoire (schizophrénie) avec ses symptômes révélés que sont les perceptions hallucinatoires : visuelles, auditives, de sensation intériorisée... sont vécues par le psychotique, le plus généralement, comme des agressions personnelles à son intégrité, perpétrées par ses « persécuteurs » qu’il reconnaît, dans ses visions interprétés comme étant du domaine de « l’au-delà ».

    Prévenir les jeunes par l’éducation, en s’appuyant sur la science actuelle explicative des mécanismes neuronaux, essentiellement par les deux voies relatives à son éducation :

    • Au cours de sa scolarité lorsque est abordé, en sciences naturelles, le cerveau et le système neurologique qui lui est lié, en y associant le domaine des rêves permettant de faire le lien avec les perceptions hallucinatoires vécues par le psychotique.

    • Au cours de son éventuelle éducation religieuse -par les divers mouvements se réclamant comme tels- lorsque est abordé ce qui se rapporte aux personnes ayant des relations dites «mystiques» avec l’au-delà : contacts prophétiques, apparitions, voix intérieures...

    Cette information précoce doit-être l’un des principaux vecteurs manquant à mettre en œuvre pour compléter le dispositif actuel de santé mentale, permettant ainsi d’éviter, à nombre de jeunes, d’entrer dans un processus durable de la psychiatrie.

    Défendons des vies. Evitons à bon nombre de jeunes de mettre fin à leurs jours, d’être dans cette situation de souffrance psychique, d’être hors de la société, de survivre avec l’allocation de handicap.

    La psychiatrie n’est pas une fatalité et nous pouvons agir pour en diminuer les entrées.

    Retrouvez-moi avec la pétition sur ce lien : http://monsite.orange.fr/champion20

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